POPY LE PLUS VIEUX CHAT DU MONDE EST MORT 24 ANS !!!!!!

16/06/2014 07:22

 

 

Histoires tristes d'animaux !

 

 

 

Poppy, le plus vieux chat du monde est mort !

Elle venait tout juste de se voir décerner le titre, il y a quelques semaines. Poppy, proclamée "plus vieux chat du monde" par le livre Guinness des records, est morte à 24 ans, ont rapporté mercredi 11 juin les médias britanniques. La chatte, dont l'âge équivalait à 113 ans pour un humain, est morte vendredi d'une infection, à Bournemouth, dans le sud de l'Angleterre, selon le Daily Mail et la BBC. "Nous savions que ça devait arriver, mais nous sommes quand même complètement effondrés", a réagi sa propriétaire, Jacqui West. Née en février 1990, Poppy avait été officiellement reconnue "plus vieux chat vivant au monde" en mai dernier. Malgré son grand âge, elle n'a pas battu le record de longévité pour un chat. Selon le Guinness, il est détenu par Creme Puff, qui a vécu 38 ans et trois jours, à Austin, aux Etats-Unis.

 

 

 

 

 

 

 

 

Un chat qui ressemblait à Hitler, torturé en Angleterre !

Le seul tort de cette pauvre bête était de porter une petite moustache noire qui rappelait celle du leader nazi. Il a été laissé pour mort dans une poubelle. Jusqu'où peuvent aller la bêtise, la méchanceté et la brutalité ? Ce chat a été violenté et martyrisé, car, selon ses détracteurs, il ressemble à Adolf Hitler... Comment un félin peut-il faire penser au dictateur allemand ? Voilà un mystère encore non résolu... Toujours est-il que des habitants de la ville de Tredworth en Grande-Bretagne dans le Gloucester ont violemment agressé cette pauvre bête sans doute parce que le duvet noir qu'il porte sous la bouche leur rappelait vaguement le carré de moustache qui ornait le visage d'Hitler ! "Penser que des gens peuvent attaquer un chat innocent juste pour son apparence est tout simplement horrible", s'est émue Kristy Sparrow, la jeune femme de 26 ans à qui appartenait ce chat surnommé Kitler par ses voisins... Inquiète de ne pas voir revenir Baz, son animal de compagnie favori, elle avait lancé un avis de recherche sur Facebook. La petite boule de poils blancs et gris a finalement été retrouvée dans une poubelle, à demi morte, et un oeil en moins ! "Les vétérinaires ont dit que, vu ses blessures, il n'avait pas été heurté par une voiture. Il a été battu." Baz aurait été victime de son physique hors norme. "Beaucoup de gens disent qu'il ressemble à Hitler, mais il est timide et doux. Il est si mignon. Sa moustache fait de lui ce qu'il est", explique Kristy.

Preuve supplémentaire que la bêtise humaine est incommensurable...

 

 

 

 

 

 

Il engage un tueur à gage pour liquider son chien !

Le propriétaire d'un chien a voulu, en Croatie, se débarrasser de son animal de compagnie. Alors, il a embauché un tueur à gages.  Mais celui-ci s'est raté et le chien, bien que criblé de balles, a miraculeusement survécu. Les faits se sont déroulés dans un village situé au nord de la Croatie. Selon le tabloïd britannique The Mirror, le propriétaire d'Olly, un chien bâtard, voulait se débarrasser de son animal de compagnie en le tuant. Mais l'homme ne souhaitait pas payer 36 euros, la somme réclamée par le vétérinaire pour injecter la dose d'euthanasie nécessaire. Moyennant un peu moins de 5 euros, il a donc décidé de passer par les services d'un tueur à gages. Ce dernier n'a pas eu de mal à trouver la pauvre bête. Et comme convenu dans le contrat passé avec le propriétaire,  lorsque le chien est apparu dans le viseur de son arme, il a fait feu sur lui. Croyant l'animal mort, l'homme s'est ensuite débarrassé de sa prétendue dépouille en la jetant dans une rivière. C'est là que deux pêcheurs ont repéré le pauvre chien et l'ont sorti de l'eau. "Il est passé devant nous, flottant tel un morceau de bois et soudain, une de ses pattes a bougé comme s'il voulait nous faire signe", a raconté l'un des deux pêcheurs. Sur la route empruntée pour rallier la clinique vétérinaire, les deux hommes sont tombés nez à nez avec le tueur à gages en train de ranger son arme dans sa voiture. Après avoir transmis la plaque d'immatriculation du véhicule à la police, ils ont permis l'arrestation du tireur.  Il s'agirait d'un chasseur, déjà soupçonné d'avoir abattu d'autres chiens. L'état de santé d'Olly, rebaptisé Chance depuis le drame qu'il a évité de justesse, a nécessité plusieurs opérations chirurgicales. Il est aujourd'hui en convalescence mais à la vie sauve.

DirectMatin

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Boris, le taureau a pleuré avant de mourir !

(Attendre la fin de la vidéo pour voir le pauvre animal en pleure)

Boris, un taureau d'abattoir, fut secouru par Hillside Animal Sanctuary en Angleterre. Ce taureau vivait dans une ferme industrielle où les conditions de survie pour les animaux sont terribles. Boris est tombé malade, mais une fois pris en charge par ses sauveteurs, qui l'ont conduit dans un sanctuaire, il n'a pas, hélas, survécu. Avant de mourir, le personnel soignant qui était à ses côtés a pu voir et même filmé Boris qui, à plusieurs reprises, a versé de vraies larmes. Le personnel soignant a dit que Boris a pleuré par gratitude envers ceux qui lui ont porté secours et que probablement Boris savait que la bataille était perdue pour lui.

 

 

 

 

 

 

En prison pour avoir couper la queue de son chien !

MALTRAITANCE - La justice britannique a condamné un homme à trois mois de prison pour avoir mutilé son Jack Russel. Walter Doe s'est également vu confisquer l'animal et interdire d'en posséder un nouveau durant dix ans.

"Couper l’os de la queue a dû provoquer une terrible douleur et rien n’a été fait pour l'atténuer." Andrew Kirby, l’inspecteur en charge de l’affaire, a expliqué lundi devant le tribunal d'Hastings, en Angleterre, les souffrances endurées par un chiot qu'il a sauvé. L'année dernière, ce policier a été appelé par la RSPCA, une association de protection animale, pour intervenir sur une cruelle affaire. Dans une maison de Uckfiel du Sussex (sud de l'Angleterre), l'inspecteur a en effet découvert un chien de race Jack Russel dans un état critique, rapporte le Daily Mail. L'animal, âgé d'à peine huit semaines, avait la queue sectionnée et infectée. Traumatisé, l'animal ne bougeait plus. Son maître, Walter Doe, avait tout simplement décidé de lui couper la queue avec un objet tranchant, de type couteau ou ciseau. Le jeune homme de 24 ans, poursuivi pour maltraitance animale, n'a pas précisé la manière dont il l'avait mutilé, ni les raisons qui l'ont poussé à un tel geste. Seule certitude, l'animal a atrocement souffert. Selon les vétérinaires qui l'ont soigné, la queue a en effet été tranchée au plus près de la base du corps, au niveau de l'os, et la plaie est restée à vif. Durant plus d'une semaine, Walter Doe l'a ainsi laissé souffrir, sans lui prodiguer le moindre soin. La caudectomie du chien (ablation de la queue) est interdite dans le pays. "En plus de la douleur qu'elle provoque, elle est inutile et prive l'animal de son équilibre", a détaillé l'inspecteur. Ce dernier a décidé de recueillir le chien traumatisé, qui se remet doucement de sa blessure. Son bourreau a lui été condamné à trois mois de prison et à une interdiction de posséder un animal durant les dix prochaines années.

Mettronews

 

 

 

 

 

 

Billy le chien héros nous a quitté !

Plus de 2100 heures de service, 2223 heures d’entraînement, 167 interventions, un séjour en Afghanistan, 12 personnes retrouvées dont 3 enfants... Billy a eu une carrière exemplaire. Ce berger allemand exceptionnel, décoré de la médaille de bronze de la Défense nationale, est décédé, jeudi 10 avril 2014, à l'âge de 7 ans. Le gendarme Didier Cabanac du peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie d'Orthez (64), son maître pendant toutes ces années de bons et loyaux services, a tenu à lui rendre hommage à travers ces quelques mots empruntés au poète de anglais George Gordon, Lord Byron : « Il possédait la beauté sans la vanité, la force sans l’insolence, le courage sans la férocité et toutes les vertus de l'homme sans ses vices. Dans la vie, le plus sûr des amis,Le premier à vous accueillir, le premier à vous défendre,Celui dont le cœur honnête appartient pour toujours à son maître,qui travaille, se bat, vit et respire pour lui seul. » Repose en paix, Billy.

 

 

 

 

 

 

Toldo, le chat dépose des cadeaux sur la tombe de son maître !

A Montagnana, une petite bourgade médiévale de la commune de Marliana située en Toscane au nord de l’Italie, s’est déroulée une très jolie histoire qui a ému le pays tout entier. Toldo, un petit chat gris et blanc âgé de 3 ans provoque une vive émotion dans tout le village. Les habitants ne parlent plus que de lui. Trouvé au bord d’une route, alors qu’il n’était encore qu’un petit chaton, il a été recueilli et adopté par Renzo Iozelli. Celui-ci est mort en septembre 2011 à l’âge de 71 ans. Toldo vouait un véritable amour à son maître. Il le suivait partout. Ils étaient inséparables, complices et très attachés l’un à l’autre, mais malheureusement la mort les a séparés trop tôt. Le jour des funérailles, Toldo était présent aux côtés d’Ada Iozelli, la veuve de Renzo, et de leur fille. Il a suivi le cortège qui traversait tout le village jusqu’au cimetière. Le lendemain, Ada Iozelli, en se recueillant sur la tombe de son défunt mari, a vu une petite branche d’accacia déposée sur la tombe. Elle a tout de suite pensé à Toldo, et effectivement depuis ce jour là, il se rend quotidiennement sur la tombe de son maître. Les habitants du village le croisent au cimetière, ils le voient tous les jours venir déposer des petits cadeaux sur la tombe, des feuilles, des brindilles, des bouts de papier, des cure-dents ou gobelets en plastique. Il apporte toutes sortes de cadeaux à son regretté maître. Sa façon à lui de le remercier, de lui prouver sa reconnaissance et de continuer à l’aimer au-delà de la mort. Toldo ou l’histoire d’un amour éternel...

 

 

 

 

 

 

Le vieux chien...

Assieds-toi à côté de moi, j'ai à te parler. Je t'ai, maintenant je le crois, assez écouté. Je me souviens de notre rencontre, c'était un jour où le soleil brillait, l'air était doux. Un parfum de muguet, que je n'avais encore jamais respiré, se répandait tout autour de nous. Tu es venu vers moi, tu semblais si fatigué, si triste, que je me suis tout de suite sentis proche de toi. Les arbres, les fleurs, l'herbe même sentaient la naissance, le début, la fraîcheur. Quand tu m'as pris dans tes bras, ton cœur battait encore plus fort que le mien. Je me le rappelle bien, j'en étais stupéfait! Tu me donnais tant d'amour qu'il me semblait que l'éternité était en nous, que ma vie était-elle. Tu m'as connu bébé, je suis maintenant beaucoup plus vieux que toi, au crépuscule de ma vie. C'est moi maintenant qui suis fatigué, si fatigué, éreinté. Je ne sens plus mes membres, je ne sens presque plus rien. Il est pour moi l'heure . Tu es ce que tu es, celui que j'ai aimé, que j'ai toujours aimé. Le premier, le dernier. Notre sort aurait pu être si différent… le mien surtout. J'aurais pu me retrouver seul, dans le froid, attendant jusqu'à ma mort ton retour. J'aurais pu me sentir abandonner mais confiant, même si cela peut paraître incompatible. J'aurais pu croire en un faux Dieu, perdre ce que vous appelez des illusions. Comme je me sens bien près de toi… il me semble sentir à nouveau le muguet comme ce jour de mai; je sens ta chaleur, ta vie, il me semble même entendre battre ton cœur, comme au premier jour. Pour moi, c'est le dernier. Ne pleure pas mon ami. Ton tour viendra, et je ne peux m'empêcher de te promettre que je t'attendrais, même si je sais que tu ne crois pas à ces choses-là. Que nous reste-t-il donc ? Rien d'autre que ce que tu penses être un faux espoir. Mais tu en sais sans doute plus que moi sur ce sujet ? Je vais continuer de vivre dans ton cœur, aussi longtemps que tu le souhaiteras. Je serais toujours tout près de toi, tant que mon image sera présente en toi. Je dois maintenant m'arrêter. S'il te plait… Poses ta main sur ma tête… caresses-moi. Je vais partir, et j'ai un peu peur. Il me faut ton odeur… Adieu. Ton pépère qui t'aime.

 

 

 

 

 

 

 JAPON : fermeture imminente de tous les bars à chats !

C'est le choc : le Japon a annoncé la fermeture imminente de tous les bars à chats du pays. Mais pourquoi ?! Alors que les bars à chats éclosent comme des fleurs dans plusieurs villes européennes, au Japon, c'est le drame. Les pionniers du concept ont annoncé qu'ils allaient faire fermer tous leurs établissements félins, rapporte Yomiuris Online. En cause : ils feraient baisser la productivité du pays. En effet, les habitants y passeraient trop de temps et se désintéresseraient par conséquent de leur travail... Un phénomène que le gouvernement n'est pas prêt à accepter et dans le but de faire remonter l'économie, ils a décidé de prendre des mesures radicales. "Ils doivent tous fermer. Il n'en restera pas un seul", a déclaré d'un ton ferme Shinzo Abe, le Premier ministre. "Pourtant, j'aime les chats, ma femme peut en témoigner mais trop, c'est trop". Sauf que pour les Japonais, l'heure est grave. Fermer les bars à chats, c'est faire entrave à leur liberté. Des groupes de mécontents se sont déjà créés et lentement, dans la pénombre des grandes villes, la rébellion s'organise. Car "ils ne comptent pas se laisser faire", explique Namae Cho, tête de file du mouvement. "Fermer les bars à chats ?! Non mais quoi encore ? Interdire les bars à câlins peut-être ? Laissez-nous rire !". À Tokyo, notamment, un local a été réquisitionné afin de mettre en place des groupes de parole et de soutien aux plus touchés par la décision gouvernementale. "Les bars à chats, c'est mon seul petit bonheur dans la vie", déplore Akizumi Etsu, une dame âgée de 64 ans. "Si le gouvernement m'enlève ça, que me reste-t-il à part mes yeux pour pleurer ?".

Grazia